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  • Voilà une semaine que nous sommes chez Thierry, un grand ami à mon père. Cette semaine, je l'ai trouvé horrible. J'ai dû la passer seul, sans Élisa. C'était ennuyant. Non pas,que je ne me suis ennuyé ! Non, mon père m'as donné toutes sortes de tâches à faire... Mais, je n'avais pas à la réveiller le matin, ni a la taquiner sur sa manière d'être. Non, je n'ai rien pu faire de tel. Je m'en veux énormément de ne pas avoir été là pour l'aider.

    Toc Toc Toc

    Je me lève de mon lit de fortune et vais ouvrir la porte de ma chambre. Je tombe sur mon père. Génial que me veux t-il celui-ci ?

    - Lucas, je vais partir quelques temps pour régler des affaires importantes, je vais donc te laisser sous la garde de Thierry. Je pars se soir alors prépare mes valises !

    - Oui, père. Il sort de la pièce. Bon voyage et ne revenez surtout pas, lui dis-je en murmurant tout bas au cas ou qu'il m'entends.

    Je sors à mon tour pour aller faire ses valises. Je ne cachais pas ma joie et tant mieux. Je prends deux valises, les ouvres et fours plusieurs de ses habits dans chaque une d'entre elles. Après avoir fait cela, je fais sa trousse de toilette rajoute des livres dans son sac et ferme enfin sa valise. Je les descends de la chambre. J'ai failli tomber plusieurs fois dans les escaliers. J'arrive enfin dans le salon. Mon père est assis à table avec son Ami et discutent. Ils s'arrêtent et me regarde. Je regarde Thierry et son sourire qu'il a en me regardant me donne envie de vomir.

    - J'ai fini vos valises, père.

    - Bien, vas les mettre dans la voiture et puis vient là, nous devons parler. Me cracha t-il à moitié.

    - Très bien.

    Et je sors très vite ne pouvant plus supporter se sourire sur moi de Thierry.

    Arrivé à la voiture je me rends compte que je n'ai pas pris les clés et laisse les valises devant le coffre de la voiture et cours chercher les clés. J'entre et je vois Thierry avec la clé de voiture dans les mains.

    - Tu n'aurais pas oublié la clé par hasard ?

    Je baisse la tête gêné et à la fois dégouté par son sourire.

    - Si, pourriez vous me passez la clé ? Dis-je dans un sons presque inaudible mais qu'il réussi à comprendre au vu de sa réponse.

    - Je veux bien, si tu me donnes quelques choses en échange.

    - Bien sûr. Que voulez-vous en échange ?

    Il sourit de toute ses dents avec cet air vicieux. Je déglutis difficilement. Pitié faite que cela soit quelques choses de simple et pas dégoutant...

    - Embrasse moi.

    Je manque de m’étouffer. Il n'est pas sérieux là ?!

    - Ne t'inquiètes pas, ton père n'est pas là.

    Ce n'est pas pour sa que je m'inquiète crétin !

    - Mais je ne peux pas vous embrassez voyons ! Nous semble tout les deux des hommes !

    - Alors tant pis pour ta clé, mais quand ton père reviendra, je ne suis pas sur qu'il sera très content de toi. Dit t-il avec se sourire qu'il sais si bien faire. Je crois que pour une fois, il a raison. Je me résigne et m'avance près de lui. Je le regarde, content et fier de lui. Je m'approche des ses lèvres et pose les miennes sur celles-ci. Je me recule mais il passe sa main derrière ma nuque et je sens sa langue essayer de se faufiler pour rejoindre sa compère. Je ferme mes lèvres pour ne pas le laisser faire mais il me pince la fesse droite et je pousse un cri lui laissant carte blanche pour entrer sa langue dans ma bouche. J'essaie de le pousser, de lui donner des coups mais rien n'y fait. Il enroule sa langue contre la mienne, mordillant ma lèvre inférieur. Je suis livré à lui. Pour une fois j'espère tant que mon père arrive... Mais il ne vient pas. Thierry se recule enfin et me regarde pendant que j'essuie mes lèvres du revers de ma manche.

    - La première fois que je t'ai vu j'ai eu le coup de foudre et je me suis demandé si tu était gay. Mais au vu de tes réactions que tu as eu lorsque je te testais, j'en conclus que oui, tu es Gay.

    - Non mais vous êtes taré ! Je ne suis pas Gay et puis les seuls réactions que j'ai eu, c'était du dégout !

    - De toute façon, ton père m'as laisser ta garde le temps qu'il revienne et puis il a bien stipuler que je pouvais faire ce que je voulais de toi ... Sauf de te tuer bien sûr !

    - Non ! Vous mentez ! Il n'aurais jamais accepter cela !

    - C'est ton père tu sais ... Bon, je ne vais pas te retenir plus longtemps sinon ton père changerai peut être d'avis si tu n’obéis pas...

    Il me donne la clé tout en me tapotant la tête comme si j'étais un animal bien dressé... Mais je fais ce qu'il me dis quand même, craignant que mon père ne s'énerve encore contre moi. Après avoir rangé les valises dans la voiture, je suis revenu comme convenu. Mon père était de retour et assis. Thierry aussi était là malheureusement. Je m'assois alors en face deux.

    - Bien Lucas, comme tu le sais, tu vas rester habiter avec Thierry et en contre, je veux que tu lui obéisse pour tout ce qu'il te demandera. Si j’apprends que tu ne lui à pas obéis, tu pourra dire adieu à la vie tranquille que tu avais jusqu'a maintenant ! Est-ce clair ?

    - O-oui père.

    - Bien, alors je vais partir.

    Il se lève nous le suivons, moi encore sous le choc de devoir obéir à une des personnes que je déteste... Mon père monte dans la voiture et démarre. Nous regardons ensemble la voiture s'éloigner puis disparaitre. Thierry pose alors sa main sur mon épaule et me regarde avec un grand sourire.

    - Bon, et si nous allions nous amuser un peu ?

    Je recule de quelques pas. La peur commence à se faire ressentir en moi. Je suis pris au piège, maintenant je ne peux qu’obéir.

    - N'aie pas peur. Tu verras, tu te sentiras bien et tu y prendras du plaisir aussi.

    - Là, n'est pas la question... Vous allez me violer en êtes vous conscient ? Lui dis-je tout en essayant d'être prudent.

    - Je le sais très bien. Et pour tout te dire, je me sens déjà dur rien que d'y penser.

    Je fais une mine dégoûté et il rit. Il est vraiment horrible. La pensé de violer un gamin de 16 ans ne lui fait donc rien ?

    - Je pourrais porter plainte contre attouchements sur mineurs.

    - Tu pourrais, mais le feras-tu ? N'aurais tu pas honte, et puis, tu décevrais énormément ton père. Lui qui t'as tout de même élevé et aidé à t'en sortir alors que votre mère vous a abandonné.

    - Taisez vous ! Je vous interdis de parler d'elle ! Je n'ai rien à voir avec elle !

    Il sourit et m'entraine à l'étage, dans sa chambre et me pousse légèrement, assez fort pour que je tombe sur le lit puis il se met au dessus de moi.

    - Bien maintenant passons aux choses sérieuses. J'allais parler lorsqu'une main se posa sur mes lèvre pour m'intimer de ne rien dire. Laisse toi aller et ferme tes yeux.

    Je ferme mes yeux comme il me l'as demandé et je le sens se lever et se diriger vers le placard de sa chambre. Il revient peu après avec plusieurs objets. Je le sens mettre un foulard autours de mes yeux et faire de même avec ma bouche. Surpris, j'essaie d'enlever ses deux choses qui me gêne mais il m'attrape les mains et les lies entre elles. Je commence a me débattre. Il me gifle alors au visage. Je retombe sur le lit sonné par ce coup, il en profite alors pour me déshabiller. Je me retrouve nu devant lui, sans défense, mes sens brouillé. Je n'ai aucun repère et je ne peux pas voir ni savoir ce qu'il va me faire. J'ai peur, bien plus qu'avec mon père. Mon dieu, papa pourquoi es-tu partis et m'as tu laissé avec cet homme...Je sens les larmes me monter aux yeux. Je dois rester fort sinon, il va être ravi et je ne veux pas ! Je sers mes poings et mes dents lorsque je sens ses mains parcourir mon corps... Je suis en enfer cela ne peut être que cela. Devant mon manque de réaction, il me donne un coup de fouet en plein dans les côtes. Je hurle de douleurs mais mes bruits sont étouffés par le bâillon. Puis d'un coup, ce n'est pas un coup mais plusieurs à la suite et de plus en plus fort que je reçois ses coup de fouet. S'en est trop et je reste dans un état lamentable, conscient mais pas assez pour arriver à penser. Il en profite c'est sa chance, le seul moment ou je serait bien docile. Alors que j'essaie de lutter pour rester éveiller. Je sens une grande douleur dans mon postérieur. C'est a ce moment là, que je sombre dans l'inconscience...


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  • Bonjour à tous, je fais un blog de RPG mais je n'ai pas le courage de le faire seul, c'est pour cela que je recrute du monde :) 

    Un petit questionnaire :

    1. Avez vous déjà tenu un RPG ?

    2. Quand êtes vous disponible

    3. Aimez vous le Yaoi ?

     Et je croiis que c'est tout ! J'espère que vous serez nombreux -ou pas- :3

    Je ne sais pas encore le thème du RPG alors si vous avez des idées ♥


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  • Bonjour à tous, je fais un blog de K-pop mais je n'ai pas le courage de le faire seul, c'est pour cela que je recrute du monde :) Il parlera aussi de Drama et de la corée du Sud mais surtout de Musique ♥

    Un petit questionnaire :

    1. Quel groupe aimez vous ?

    2. Quel chanteur aimez vous ?

     Et je croiis que c'est tout ! J'espère que vous serez nombreux -ou pas- :3


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  • /!\ ATTENTION Langage cru et vulgaire ! Ne pas lire âme sensible /!\

     

    Chaque Lundi, c’est la même routine pour Lucas. Du haut de ses 1m82, il se levait en prenant bien soin de remettre en ordre ses cheveux blond, puis, s’étirait et sortait de sa sois disant chambre avant d’aller dans celle de sa petite sœur pour la réveiller. Il devait faire vite avant que leur père n’arrive.

    - Élisa ! Élisa, debout ! C’est l’heure !, dit-il à sa jeune sœur.

    - Hmmmh, encore cinq minutes …

    Se fut tous ce qu’elle put lui répondre. Un peu plus loin on pouvait entendre le bruit des marches d’escaliers grincer. Lucas horrifié savait très bien la cause des grincements des marches. Ô oui, il ne le savait que trop bien et c’est pour cela qu’il souleva la couverture toute fine de sa jeune sœur. Sous cette couverture, on pouvait apercevoir une jeune fille vêtue de ses sous-vêtements sale et trop petit pour ses formes bien rebondie mais on pouvait aussi voir qu’elle ne devait pas être bien nourrie au vu de la pâleur et de la minceur de son petit corps. Quelques traces de bleu et d’hématomes pouvaient se faire voir sur les bras et visage de la jeune fille.

    - Aller ! Élisa lève toi, il arrive !, lui cria t’il dans ses oreilles avec le but de la réveiller.

    D’un seul coup, le corps se leva d’un bond et s’habilla rapidement.

    - Crétin de frère ! T’aurais pu me réveiller plus tôt !              

    - Parce que maintenant c’est de ma faute … Bon dépêche toi d’aller faire le café pour le vieux !

    - Oui, j’y vais !

    Puis la jeune fille sortit d’un pas pressé. Lucas soupira.

    - J’espère que tout ira bien pour elle… , murmura t-il.

    BAAM !

    - Et merde ! Élisa ! Jura Lucas avant d’accourir vers sa sœur.

    Élisa était allonger sur le sol et protégeais sa tête à l’aide de ses bras. Leur père, lui, se tenait au dessus d’elle et la frappait. Enrager, Lucas se jeta sur son père.

    - Dégage de la ! Putain de père de merde !

    BAAM. Cette fois si le coup partit sur leur père.

    - Tu as osé me frapper … Sale gosse ! Tu m’as frappé !

    Il se leva et  se dirigea comme un félin sur sa proie. Il prit Lucas par les cheveux et le cogna fort contre le mur. Élisa hurla et insulta son père de toutes les manières qu’il soit. Mais, il continuait plus fort. Il souriait et riait comme personne, cela l’amusait fortement. Élisa se jeta à son tour sur son père pour le faire lâcher le pauvre Lucas, qui déjà inconscient, des bras de leur père.

    BAM !

     Un autre coup partit. Cette fois, un coup de pieds dans le ventre pour Élisa et propulsa la jeune fille plus loin.

    BAM BAM BAM !!

    Cette fois si ce n’étais pas un coup. Non loin de là mais juste le corps d’Élisa qui roulait dans les escaliers. Elle poussait des plaintes mais elle se tût. Plus rien. Le père lâcha son fils et se dirigea vers les escaliers. Des traces de sang coloraient les marches. Il les descendit prudemment et s’arrêta devant le corps inerte de la jeune fille.

    - Pas très résistante…

    Il lui redonna un coup mais rien. Il s’abaissa a son niveau et lui pris le pouls. Il battait encore un peu.

    - Tss… Voila tout ce qu’il pu dire.

    Il prit la jeune fille dans ses bras et l’emmena jusqu'à sa voiture. La déposa violemment sur les sièges arrière et partit en direction de la forêt. Une fois arrivé là-bas, il déposa le corps et creusa un trou bien profonds avant de mettre le corps d’Élisa qui commençait a se réveiller à l’intérieur et de le refermer. Pendant qu’il le refermait, on pouvait entendre des cris de protestation d’Élisa. Mais il s’en fichait.

    - Une chose de faite. Maintenant on rentre.

    Et il reparti en direction de chez lui sous le regard d’une personne qui avait vu la scène depuis le début.

    .oOo.

    Il fait noir... Il n'y a que du noir autour de moi. J'entends des pas, du bruit mais rien, je ne vois rien. Ma tête me fait horriblement mal et je n'arrive pas à bouger. Élisa, ma douce sœur je suis désolé... Mais pourquoi m'excuse-je ? Je ne m'en souviens pas, enfin un peu...

    J'ouvre difficilement les yeux et essaie de me relever sans grande réussite au vu de ce grand mal de tête. Par réflexe je porte ma main à l'arrière de mon crâne et je sens un liquide chaud. Du sang ? Bonne déduction ! Pourquoi je saigne ? Que c'est t'il passer ? Je n'arrive pas à me souvenir. J'essaie pourtant, mais rien ne me vient. J'ai aussi une boule au ventre, un mauvais pressentiment m'empare. J'essaie de me lever en ignorant mon mal de tête. Je suis dans le couloir. Puis la porte d'entrée claque violemment. J'en sursaute. J'entends mon père vociféré. Mais pas d’Élisa. Si il m'as frappé, elle serait près de moi ou avec lui ... Mais je ne la vois ni l'entends ! Je descend par deux les marches d’escaliers. Mon regarde se pose sur la dernière marche. Du sang. Non, ce n'est pas le miens puisque j'étais en haut... Oh, non, pourvu que cela ne soit pas se que je pense. Je me dirige à grand pas vers mon père et regarde droit dans les yeux.

    - Ou est Élisa ?!

    -Ta sœur ? 

    - Ben ouais qui d'autre veux tu que sa soit ! Je ne connais qu'elle vu que tu ne nous autorise pas à sortir !

    Il rit avec, toujours ce sourire collé à la peau, ce sourire cynique.

    - Elle est six pieds sous terre.

    Je manque de m'étouffer. Ai-je bien entendu ce qu'il vient de dire ?

    - T-tu ...

    - Non, elle est juste tombée dans les escaliers, je ne l'ai pas tuée. C'est juste elle, de sa faute. Donc, je suis allé l'enterrer dans un coin de la forêt.

    Des larmes coule aux coins de mes yeux et mon père en voyant cela se met à rire de plus bel. Ma sœur est morte. Par ma faute, elle est morte, je n'ai pas pu la sauver, je n'ai pas su la protéger... 

    - Bon c'est pas tout, mais on déménage, me dit mon père avec un ton naturellement calme.

    - H-hein ? Ou allons nous ?

    - Quelques part.

    - Ce n'est pas une réponse ! Je veux savoir ou nous allons !

    - Tu n'as pas à savoir sale gamin, alors tu te tait et m'obéit sinon qui sait ce qu'il pourrait t'arriver. Et puis toi, tu n'est pas comme ta sœur, tu peux me rapporter de l'argent, beaucoup d'argent. Alors je ne te laisserais pas mourir.

    Il sourit de toute ses dents que s'en est effrayant...

    - On part se soir, prépare les affaires et dépêche toi !

    Je m'exécute et vais préparer les affaires. Je passe devant la chambre d’Élisa. Je n'arrive pas à croire qu'il y a a peine quelques heures elle était avec moi ... Tout es de ma faute ! Élisa, Ô Élisa ! Je suis terriblement désolé...

    J'ai fini de préparer les affaires que nous emmenons. Je les portes jusqu’à la voiture et charge tout cela. Quand j'ai fini, mon père est déjà dans la voiture. Je monte avec lui devant et la voiture démarre. Sur la route, j'observe le paysage. Mon père à allumer la radio. Il zappe et met une chaîne ou il passe du vieux rock. C'est ce qu'il aime, mais moi, je n'aime pas. Mais je ne dis rien. C'est comme sa ici, c'est lui qui décide. Au final, je me suis endormi jusqu'à la fin du trajet...

     

    A suivre ...

     

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